le clan des Otori Forum du clan |
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| Day poayme en vrac | |
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Mystiko Bavard
Nombre de messages : 16 Date d'inscription : 10/06/2006
| Sujet: Day poayme en vrac Sam 10 Juin à 17:43 | |
| Comme je ne pourrais pas tous les poster, j'en mets juste quelques un en esperant qu'il vous plairont, ou pas.
Fête du mensonge :
La fête est magistrale , le bal des squelettes Nous n'avons pas d'esprit et nous dansons sans tête Oh ! la douce folie de nos corps qui se mellent Decadence ! Insolence de vos yeux rebels ! Les gerbes de lumières illuminent a grand tor Une immonde forêt de cadavres et de morts ... Je sais , je sais , c'est moi qui déroge a la règle Je sais , je le sais je ferais mieux d'être espiègle De prendre tout pretexte ... le plaisir le plaisir , Il est dans vos fêtes ... je n'en ai guère qu'a écrire . La pierre froide de l'immeuble est devenu moite Votre vie commence a gauche pour finir a droite Certes ... mais la fierté ! La fierté , inutile ... Car les plus intelligents sont les plus habiles L'ombre des grands arbres est une aura protectrice. Quelques étoiles , que dieu nous offre en sacrifice Forment des mots durs qui se coincent dans vos gorges Vous vomissez l'amour propre que l'on vous forge Vos atroces silhouettes peignent sur la vitre Des cauchemars inavouables dont le titre Serait a faire blemir de haine les gens honnêtes C'est sur je suis ridicule , mais je suis moi-même Montrez moi vos visages ! Des hommes sans problèmes .
La clameur des chandelles imprégnée dans la terre Est de trop ici ... actes sombres et haustères Pantins sans avenir . Il faut que l'on rigole ! J'aperçois dans le ciel , dans la chaire et l'alcool Le triste reflet de vos sourires opaques Attrapez moi par les pieds , donnez moi des claques ! Nous sommes tes amis , tes amis , les gentils Prend de quoi être heureux et assieds toi ici Roulons sur la pelouse , torturons l'herbe fraîche Lechons sur le sol ,la bière avant qu'elle ne sèche Vos yeux sont périmés , et je pars comme un lâche Vous avez de l'amour ? J'entends qu'on vous l'arrache ! D'innombrables feu follets danse dans la brousse Mais vos nuques ebréchées baignent dans la mousse ! Aha ! mais rions donc ! tout cela est si triste ... Et courons ! faisons tous les malins sur la piste ! Je n'ai pas le courage , je n'en ai nul besoin Je vous laisse le soin de ne pas être bien.
Vous buvez du bonheur , je ne veux pas de ça Mort a celui qui pleure , à celui qui rira ... Vous êtes ridicules je ne le suis pas moins Nous sommes tous les mêmes j'essaye d'être bien Je dois être spécial , car vous me dégoutez Dans ce moment de joie, d'espoir prémédité Tous , tous des bêtes ! A courir après la boisson A cinq ans d'accord ... Vous incarnez vos passions Vous crachez vos tripes et notre chaire , la débacle Au sol ou sous la terre , aucun sens du spectacle Ironie du sort , dans notre futur cercueil On vous aura tous oublié , je me recueil . Faîtes les fous si vous ne l'êtes pas assez Vous êtes le grand vide ! Vos sourires m'on tués . Un corps ,l'autre a coté , pourquoi pas des millions A s'unir dans le peché, sans compensation . Folie ! Je vous refuse ! Et vos yeux doux m'accusent ! Pour les bons , ceux que j'aime , je n'ai que des excuses ...
Le trotement du son a modifié votre air Vous respirez milles morts ; le mal , la misère Dans vos poumons de ténor prennent trop de place Je te regarde , tu me regardes je t'embrasse Expirons l'un dans l'autre , nos défaut ne font qu'un Mais regardez vous en face ! Dent dure de requin Vos yeux dévorent le voisin , tend moi les bras . Votre bouche ! Horreur ! nous tombons toujours plus bas. Nous sommes tes amis , abandonne la vie Pitié ! dors avec nous , viens il n'y a qu'un lit ! Du noir tout de même venez sous les ombrages Des saules qui pleurent comme moi sous l'orage Vos cheveux d'éclair et vos prunelles de braise Ont mystifié les cieux et les mains que l'on baise , Tendu docilement , mais vous êtes des hommes ! Pas l'espoir d'oublier , sachez ce que nous sommes ... Si je bois si je fume ... vous êtes tous a moi ! Seuls les buissons respirent . Du grand n'importe quoi !
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| | | Mystiko Bavard
Nombre de messages : 16 Date d'inscription : 10/06/2006
| Sujet: Re: Day poayme en vrac Sam 10 Juin à 17:44 | |
| Tour du monde
Au pauvre lecteur dont les doigt fragilisés de leurs ongles ont grattés dans la chaire pour trouver refuge de la nuit oublié, dont la lune était l'étoile et parlent parfois avec un accent de compassion inexplicable, rien n'est de recours qui ne soit désintéréssé de leur interêt. C'est dire que pour sauver un fou il faut simplement le lui dire. Pour épargner la peine, ne pas la cacher mais l'exposer avec froid. Prouvons. Ou ne prouvons pas que j'ai raison mais prouvons que la ou vous avez faim j'ai raison, que où vous trouvez votre joie je nourris quelques peines. La terre est ronde et c'est certain, mais certains disent de vous que vous êtes bien .
Qui n'est pas rond ? Soit de la tête, soit de ce qui y tourne. Nous l'avons tous bien ronde et pensons surtout en boucle. On retrouve cette particularité chez la pluplart de nos monstres. Le diable et l'ange ne l'ont pas moins ni plus ronde. Peut être chez certains la forme est critiquable, mais a faire un carré on obtient parfois un rectangle. La mienne est résumé par deux cercles et si la votre en contient trois, que cela importe ! La terre revenons en doit être ronde puisque nos objectifs même le sont bien. Celui qui avance lentement achèvera sa route au point le plus loin de celui de son départ en ayant suivi sans jamais repasser par la case départ, son chemin. Mais celui qui saute a bond de géant a tôt fait de prendre un tour au commencement de sa vie si ce n'est deux ou plus et de se retrouver dans une situation de non temps. Marchons lentement. Notre conception de nous même est ce qui est de plus rond ! Plus ou moins plus encore que la terre elle même. Comment voulez vous d'un sens, en cognant deux cailloux en obtenir ne fut ce qu'un seul qui soit rond ? Bref, la terre l'est et ce n'est plus à prouver. Pourtant sur celle-ci, tout ne tourne pas de la sorte... Ronde ronde ! La terre est ronde comme le reflet parvenu de l'horizon hagard. Autrement dit elle est ronde mais pas trop. Preuve : nous tombons tous les jours et sommes dans tout nos états, ce qui ne peut s'expliquer que par le fait que nous marchons sur une côte rude. Chaque instant est basé sur la peur. De tomber. Pour tout ceux qui se croit haut, je confesse qu'étant petit j'ai beaucoup moins peur de me faire mal, mais pas pour autant de tomber. Qui perd gagne. Forcément ronde, un homme ne tombe pas tout seul ! Qu'est ce qui ne tourne pas rond chez vous ? La terre . Vous repondriez, je ne peux plus rien dire. Mais toujours j'entends des "non" et des "oui" plus rares et plus fourbes.Les plus grands - les pauvres - savants l'on prouvé ! Happy end ! Mais j'y trouve a redire et reprouver car peut être je suis mécontent. Réprouvés de la dernière pluie. La terre est ronde car c'est la forme définie qui exprime l'incohérence, le doute, le mensonge, la pauvreté, la lacheté, la fourberie, la sournoiserie, le vice, la perfidie, la neutralité, l'hypocrisie et j'en passe comme la haine etc... Vous ne m'avez pas compris. Mais ne dîtes pas que ça ne veut rien dire, puisque la terre, elle, est bien ronde ? N'est ce pas . Traiter de la terre c'est traité de rondeur et traité de menteur ceux qui n'accuse pas le coup. Car c'en est un sacré de se dresser debout sur une boule sans tituber ! Pourtant parfois si l'on réfléchit bien. Trop. On se sent attiré vers les profondeurs. Par sentiment humain on appel ça gravité. De nos actes qui pèsent sur nos épaules et nous enfoncent jusqu'au au dessus du cou dans la sphère du pardon. La terre. J'ai dit "pardon"? Excusez vous, je voulais dire, moi, faiblesse. Vos culs en ronds ne sont pas plus un cercle imaginaire, que le pardon ne trace une courbe mortifère en louvoyant entre les rares accès de rage qui font une bête sauvage. Excusez moi... une homme ! de pardon ... J'en ai fait le tour plusieurs fois, de la raison. Jamais celui de celle qui soulève nos pas comme on égraine un chapelet sincère. Pas un Chose n'aura jamais fait en tous sens son tour. Puisqu'elle n'en a pas. De sens. Vous doutez ? Chacun son tour ! De taille. La planète dodue se nourrit de nos morts ! Petite planète obèse de nos folies .
Ronde qui me le dit ? Puisque tu caches si bien ton vice, pourquoi pas ta forme ? J'aimerais bien croire les suplications de tes mers, mais leur clapotis ne m'inspirent plus confiance. Terre ! en vue de prouver ta droiture on a fait de grands jeux de dominos, en observant bien que tu les fasses tenir en place. Mais plus forte tu t'es servi de nous pour effondrer nos edifices ! Terre, si je me souviens bien, jamais tu ne portas en ton coeur un vivant, tu les fait survivre, mais tu les fait aussi mourir . Tu nas pas la tête sur les épaules et alors qui peut me dire qu'elle est ronde ne sera pas reçu en temoin mais en diseur de bonne aventure ! Obscure ! J'ai perdu la mienne a te découvrir et tu me fais de plus en plus peur... Petit terre jolie nous sommes tous tes amis, pardonne au rares - multitudes - qui font de toi leur jouet ( si tu pouvais n'être que le mien ...) et ceux aussi qui s'égossille à leur hurler dessus. Tu n'aimes pas nos guerres. Mais tu profites bien des corps ! Pourrissant dans la boue, quand tu ouvres tes machoires béantes ou que tes grandes dents pointues comme l'océan croque cru un de nos frère . Tu n'inspires pas confiance car tu n'es pas sincère, tu n'est pas sereine ! Es tu incernable ? Tu as plusieurs formes ! Un être humain comme un autre en ferait autant. Tu es donc mon frère. De terre . Alors je t'aime un peu tout de même. C'est pour moi tout naturel, cependant cela tracasse, car tu es ronde n'est ce pas ?
J'ai tant bien démontrer que je n'en suis plus très sur. Sont ce nos esprits qui sont rond en tout point ou seulement la terre... Voila pourquoi je vous demande plutôt que de réfléchir bêtement, d'agir bêtement sans réfléchir. | |
| | | Mystiko Bavard
Nombre de messages : 16 Date d'inscription : 10/06/2006
| Sujet: Re: Day poayme en vrac Sam 10 Juin à 17:49 | |
| Autrement
A tous les gens violents , je sui traumatisé Vous auriez pu au moins n'en dire rien tout haut Mais vos paroles sont en route vers l'éternité Vous pourrez être fier d'avoir changé le beau Il n'y a qu'un mensonge vous avez mangé l'homme J'ai dans la tête l'échos de vos larmes sur le sol Qui fait trembler mon coeur , mieux vaut mourir en sommes S'il faut assister au massacre par la parole De nos frères , pourquoi pas nos amis , c'est dommage Je pensais être le pire et je suis rassuré Je ne peux pas pleurer , ce serait rendre hommage A votre souffrance , je ne sais pas quoi penser J'aimerais vous haïr , vous me lachez dans le vide Et j'aurais écris des poèmes de médisance Mais on m'avais dit un jour que j'étais perfide A tor j'y ai cru , vous étiez mon éspérance Pour finir par vous lacéré la bave au lèvres Vous êtes sans respect et presque pas humain Vous n'avez pas d'excuse , les loups mangent les chèvre Mais je croyais chez les hommes que rien n'était vain Que ca ne marchait pas comme ca , nous étions bon . C'est pourtant pareil vous ne vous retenez pas Pour trahir les votres , peut être avez vous raison C'est si simple n'est ce pas a force de coup bas De mépriser les autres pour ne pas se risquer Je suis traumatisé vous étiez mon seul rêve Vous auriez du faire preuve de toute l'humanité Nécessaire chez nos frères comme chez Adam et Eve Je ne peux pas pleurer vous étiez mon espoir Mais aujourd'hui l'homme n'a plus aucune dignité Vous vous êtes abaissé à abattre dans le noir Vos amis sans pitié , nos convictions brisés Il y avait un rêve au sujet de l'homme , menteur Comme quoi nous étions sympathique entre nous Il y avait un rêve balayé par la peur Je vous comprend si bien , c'est la raison des fous D'avoir écrasé le couple de sentiment Qui tressait votre coeur , vous auriez pu au moins Ne pas marchez sur mes rêves , ils étaient tangeants N'auriez vous pas pu faire sans un bruit dans un coin Votre travail dépourvu d'honneur, de moral Je suis certainement con , mais je prefere mourir Que de vous ressembler , vous n'êtes pas du mal Mais le mal tout entier , vous n'avez pas d'avenir Et je vous maudis tous , je suis tromatisé Est-ce donc cela un homme ? je n'en suis pas certain Alors au loin , au diable , les monstres sans pitié J'ai toujours respecté mes semblables humains Vous avez mangé l'homme vous m'avez fait vomir Tout mon amour , ma confiance , j'en reste sans voix Mes oreilles écorchées vont bientot me mourir Il y a avait un rêve que je me rapelle parfois. | |
| | | Mystiko Bavard
Nombre de messages : 16 Date d'inscription : 10/06/2006
| Sujet: Re: Day poayme en vrac Sam 10 Juin à 17:50 | |
| Sans qu'on puisse dire "encore"
Les fleurs sont les cerveaux des hommes qui possèdent La mediocre insoucience de ne savoir pas vivre Dans nos tristes maisons , rêve qui nous obsède Notre espoir va trop vite alors pourquoi poursuivre Racler nos ongles jaunes en trainant de la patte Sur le sol de pierre ou de sang sur tout chemin S'arracher les cheveux de peur que l'on abatte La flammes de nos yeux , souvenir incertain Eclaire notre route , nous n'avons que cela Pour croire qu'on est heureux , s'accrocher au futur Mince compensation ...Ce n'est rien n'est ce pas ? C'est déja bien assez , mais c'est bocoup trop dur ... Nos désirs nous figurent un état malheureux Quand ils aboutissent , il y en a de nouveaux Ne tirez pas ! Pitité , je suis libre ... misereux . Hein ? mon esprit , nous sommes a nous deux les plus beaux Les images figées du mouvement de nos rêves Fascinent notre égo , la terre vomi de l'or ! Soyons raisonable , n'abusons pas de la trêve Mais si ! il faut bien ... Miniuit , personne ne dort . Bien plus tard encore ! Tant qu'on est fou on rigole . Nous sommes les plus moches , buvons pour devenir Différent a nos yeux , autre chose pour les folles . Pour tout ce beau monde , pas de raison de souffrir J'insiste qu'il le faut ! Mes invections sont vaines Vous êtes deja parti ; vous êtes les plus lâches ! Quel autre motif , vous me faîtes de la peine . Me voila rassuré , chacun de vous se cache Puisqu'il est dur d'être soi , devenons un autres ... Et serrons dans nos bras , inconnus d'excellence, Regards d'un jour , souriez , Ils sont tous les votres ! Un , deux , trois , quatre ! Glouglouglou . Entrez dans la danse ...* | |
| | | Mystiko Bavard
Nombre de messages : 16 Date d'inscription : 10/06/2006
| Sujet: Re: Day poayme en vrac Sam 10 Juin à 17:51 | |
| L'apétit des uns
Un peu de joie que nous saupoudrons de sourire La note de l'oiseau qui chante pour l'empire Suffit pour être heureux , pas besoin de hurler Ni de fuir lentement , pas besoin d'enlever Son charme à la vie , il suffit d'avoir envie De survivre a nos frères et de chérir autrui Savoir être méchant et ne l'être jamais Avoir peu de défauts , ne pas être parfait . Une larme sereine coule d'un bel éclat Sur chacuns des arbres , sur les fleurs et sur leurs tiges Mouvement chaloupé à donner le vertige Sur nos joues en carton , nos sourires rouillés Le malheur s'éternise , un oeil mal déssiné Qui est rouge de tout le sang de notre coeur Est un meilleur visage qu'un masque de bonheur . Montrons nos cicatrices, les braises dans nos yeux, Notre rancoeur , nos rêves craintifs d'être deux Et les comissures de nos lèvres humides Ou notre tristesse agonise dans le vide Et nous pourrons venir et c'est sûr nous viendrons Tous les hommes des enfers en une chanson S'en iront vous dire qu'ils ont été heureux Je jurerais devant vous que j'ai prié pour ceux Qui regardèrent la larme de l'homme sans haine Notre sang sous les armes a innondé les plaines .
Nos paroles et notre esprit divins ustensiles Etouffe chacun des bruits qui ne sont pas serviles On a vu naître dans le creuset de nos rêves Des paroles inhumaines , les mots qui nous achèvent Mais l'on a bien enfoui notre amitié sincère Puisque les gentils sont des bêtes qu'on lacèrent A violent coup de verbe , autant être méchant . Quand on voit apparaîte le mal triomphant Ne faut il pas hurler ? Se battre et se défendre . Surement pas. Haïr équivaut a se rendre . Mais tendez vous la main ! Allez cherchez vos frères ! Allez ! Qui sont perdu , qui sont perdus , sans amour et sans mère Non , vous méprisez vos semblables sans raison Vous êtes dans le vrai , aucun de nous n'est bon Mais ce n'est pas raison ! Et vous n'essayez pas ! Pitié ! L'homme adresse une prière sans voix A tous ses frères de haine , tout confiant encore Que les mauvais soient tous des gentils qui s'ignore .
A genou sur la terre , a genou dans le ciel . Prenez garde , Il y a mes yeux et le soleil Un murmure inaudible a couvert le vacarme Qui suinte de vos bouches dépourvues de charme Alongé sur la pierre , alongé dans l'horreur Vous sentez votre coeur de timonier sans peur Avoir des soubresaults étranges devant l'amour Qu'a bléssé votre crainte et qui saigne toujours Bien assis sur un rêve , bien assis dans le vide Vos vilains os transpercent vos chaires perfides Les braves et honnêtes homme sont de la vie gachée. Suivez, les sournois possèdent un espoir caché .
La tempête vous a nourris avec des pierres Votre cerveau alourdi se traine par terre Que voulez vous mangez ? De l'homme ! de l'homme ! de l'homme ! Vous l'avez dévoré ... croqué comme une pomme ! Nous repoussons tantôt fruit de certains rêves Alors nous maudissons de nos arbres la sève Notre sang combat notre dure condition Nous continuons de vivre mais sans raison Sinon la vengeance , et notre mort a la clé Ou la dispartition de toute joie rêvé .
Le pardon est misérable . Et notre vie ? la vie ... Et l'amour ? Nos sourires ? Misérables aussi . Un oiseau ou un marteau de fer a creusez Chez nous un gouffre profond ou la vérité Est a l'abri des regards . Il faudrait ouvrir Notre corps avec une pince sans mentir A coup de hache ! oui ! ce sera beaucoup plus sûre Coupons sa tête aussi ! Crak! Crak ! Les os sont durs . Mangeons lui le coeur ! Savourons le jus atroce C'est la vérité ! C'est la vérité féroce ! | |
| | | Mystiko Bavard
Nombre de messages : 16 Date d'inscription : 10/06/2006
| Sujet: Re: Day poayme en vrac Sam 10 Juin à 17:52 | |
| Question d'éthique
Vous dîtes que vous souffrez mais c'est un beau mensonge Je suis un aveugle du vice , un petit songe ... Vous dîtes que vous aimez , mais c'est sans convictions . Un petit peu de bière vous donnera raison ! La foule bat plus fort que les coeurs amoureux . La musique fait loi , les sourd baissent les yeux . Diluons dans vos moeurs la tentation humaine Laissons les lâches rires et oublions leurs peines . Si nous sommes des hommes n'aprochons surtout pas D'un pardon bien pensant, mensonger de surcroît La fête est la lumière de notre faiblesse Sous le chef de la seule raison que j'y connaisse : Votre amour de grandeur , Nous ne sommes pas ça . Imbus des rêves vrais qui agitent ses draps Au rythme mortuaire des paroles qui filent , L'homme se croit vainqueur . Fin du péril . Abandonnez un peu vos couronnes factices Pour révéler au monde votre esprit et ses vices . La haine c'est l'amour , la fête c'est la mort . Anciens esclaves qui meurent et meurent encore , N'avez vous pas saisi la chance de la vie ? Plus clair : vous venez des enfers , retournez y ... Vous dîtes que rire c'est vivre , et vous vivez ! Mais rire c'est l'envie atroce de pleurer . Sur les marches d'un escalier ou dans le ciel Un regard dévore chacun de nous , mais lequel ? Le trotoir, une maison ou votre cercueil; Tous trop humain , ou voulez vous qu'on vous accueille ? Vous êtes les plus lâches mais dans chaque coeur Vous fendez en biseau des sourires sans peur . Réfugiez vous y bien , je vous offre le mien . Vous riez , je pleure parfois , tout ça n'est rien . Si je vous souris , que vous souriez mieux , Si le votre est forcé j'ai le mien dans les yeux . Raisonables et vieux , vous serez des héros En en parlant plus tard , on dira : "C'était Beau". Un sourire efface un coeur et c'est tant mieux ! La foule bat plus fort que les coeurs amoureux ... | |
| | | Mystiko Bavard
Nombre de messages : 16 Date d'inscription : 10/06/2006
| Sujet: Re: Day poayme en vrac Sam 10 Juin à 17:53 | |
| L'Audace
Un succédané d'audace , un petit sourire Et chacun reprend sa place ! Vous voulez offrir Aux anges qui vous portent de quoi trouvez raison ? Sans motif et sans gloire , vous n'êtes pas des cons ... Laissez vous supporter jusqu'au point d'être heureux Faîtes face a l'horreur , la main devant les yeux ! Vous accrochez la joie de vos doigts éffilés Figure au coeur d'acier , on vous a tant aimés , Qu'on ne peut pas pleurer votre abandon affreux Au revoir étrangers , vous êtes toujours deux Vous et vos désir n'avez pas fusioné Espoir d'arrache pied , voulez vous me lâchez ? Plutôt regarder autour de nous et des autres . Vous verrez , mes éspérances sont les votres ... Je rêverais aussi de plonger sur la lune Un regard enfantin , rien qu'une fois... rien qu'une !
Hommage dépassé de l'homme à son reflet Nos frères sont passés . Plus de rêves de paix . La guerre peine a introduire son museaux Dans nos esprits étriqués , son bec de corbeau ! Un sursaut, nos regards se croisant font plus mal J'ai tout le monde a dos , supplice lacrymal ... Dans nos coeurs atrofiés la bataille fait rage. Qui gagnera de la suffisance empotée Et de la bienvellance de nos deux yeux enflés Tendres et mouillés de vos chagrins inutiles . Travaillons la chaire car la pensée est futile L'instantanée changeante n'aboli pas le sang Nos cris de souffrance restent gravé dans le temps Plus loin et plus profond que nos rires d'un jour Gravant mauvais , dans notre coeur et tout autour Dans une nuée d'éclat de rêves tranchants, Notre haine toujours , nos gorges en se fendant Innonde de clarté les racines des arbres Régalons nous des corps ! Notre festin macabre A plus de raison d'être que les mots doux mentis Aux gens innocents , j'aimerais l'être aussi . | |
| | | Mystiko Bavard
Nombre de messages : 16 Date d'inscription : 10/06/2006
| Sujet: Re: Day poayme en vrac Sam 10 Juin à 17:54 | |
| Mystika
Je n'ai pas toujours été très moi, mais pour vous Je suis toujours resté le beau reflet d'un fou . Je ne sais plus écrire, un jour on le dira : Survis tant bien que mal, souffrir est bon pour toi ! Dans un asile aux murs vieillot on a enfermé Sans différence les cons et les surdoués. Car on n'avait simplement pas pensé a moi ! Et si je suis encor' le même ce n'est pas Pour entendre vos éternelles conneries Sur Votre monde, sur dofus et sur la vie !
Aimez moi aimez vous, aimez vous qu'on vous aime ? Si vous le destiez l'affaire serait la même ... Et si je vous déteste, est-ce un réel danger ? Puisque c'est réciproque, ne soyez pas bléssé...
Regardez devant vous pour n'être pas trop bon A attendre le lent, le rapide l'est autant ! Plus on est de fou, moins on a de riz, c'est con ? Mais c'est aussi vrai que vos espoirs que sont touchants... Voyez j'ai votre pure pitité : Observer Trois fois derrière avant de faire un pas Pour que le plus petit ne soit jamais lésé. Bref je vous coupe la car ce petit c'est moi. Sans quoi je detesterai cet état... de grâce ! Qui au dessus des lois ne peut avoir ce rêve ? De devenir géant en restant dans sa crasse ! Rien que le souffrant blessé en sang qu'on achève...
Si j'étais vous , au moins je serais ennuyé Par ma prorpre existence mais vous chérissez Les autres quand il vous ressemble tellement Que vous vous aimez plus qu'un peu en les aimant !
Effaçons... Effaçons, mais ce mot est coriace ! Effacez tout chez lui, je vois qu'il est en passe De devenir comme nous ! Un gros porc humain Un porc en chaire humaine ! Par la force des mains. Essuyez tout ce sang, pour l'obliger a boire Ses vieux os pétri et cachez ce mirroir ! Car il faut qu'il oubli qu'il a été quelqu'un Qu'il croit que son visage n'existe qu'en dessin Une rature énorme en plein sur la figure Bof, tu es insensible tant la vie est dure.
Peuh ! Peu importe vos raisons ! Vous n'avez aucun droit ! A juger de vos frères vous juger de moi . Bah ! La déguelasserie de tous vos corps ensemble ! Qui êtes vous donc, têtes qui se ressemblent N'ont pas définition de qui s'assemble ou pas ... Car comme un con je n'aime que ce que je croit ! Un échec c'est un jeu qui porte un joli nom J'ai toujours aimé le fou c'est un faible pion ... Qui saute de partout ! Sans qu'on le voit venir ! Et mange d'un coup votre roi sans avenir ...
Si l'on voulait vraiment vivre sans inconscient Nous voudrions aussi un exemple précis De ce que nous pensons avoir de l'importance. Même vous voudriez vivre sans abondance ! Un peu parfait un peu triste vous seriez mieux Que parfaitement fat et fier d'être ennuyeux ... Je vous aurais appris comment souffrir en paix, combien on gagne de Savoir quand on se tait !
Si l'on disait aussi qu'en étant ridicule Nous serions au dessus du petit monticule Que vous entrenez servilement le soir Et contemplez au matin d'un sombre regard. Vous êtes votre vide, votre espoir bleu N'atteint que le reflet qu'ont les gens dans vos yeux.
Aimez moi aimez vous, vous aimerez vous donc ? Aimez qu'on vous apprene tout sur le quelconq Pour découvrir vous même notre blanc coté. Ou s'évanouissent ensemble l'ombre et la beauté.
Point de pénitence pour notre plus grand frère Vous voudriez m'avouer votre peur des enfers Sauf que sans courage on reste beaucoup plus sage. Vous l'êtes tellement que vous n'êtes plus qu'image... Si vous croyez vos espoirs en mousse être en fer Alors croyons aussi au paradis sur terre !
Gagnons sur la peau de chagrin de tous les hommes Ce que nous perdons de magnifique, en la somme... Toujours nous découvront plus lâche que nos coeurs Ce qui n'empêche pas les votres d'avoir peur ! Si vous êtes dernier dans ce monde d'abruti J'ose éspérer qu'autre part vous sera promis Un bien bel avenir, vous ne méritez pas Ni vie de merde ni misère d'autre fois. Mais encor' moins le beau et le pur dépravé ! Vous mangez tout, y compris vos vos lèvres gercées ! De mes larmes rouges, mince compensation... Je sais, vous crierez trop tard que j'avais raison. Sans vous dire quoi faire on vous en dit bien trop ... Si j'étais professeur je vous dirais le beau De ce que vous jugez être indigne de l'homme. Nous sommes si grossier que nous jugeons en somme La merveille de l'Endroit et celle du Moment. On peut penser mauvais sans même être méchant...
L'homme est le moins humain de tous les animaux. A moitié bien, presque bon, a moitié en trop ! Ne vous ouvrez pas la porte : c'est ce qu'ils veulent ... Vous avez tout mangé, l'amour en amuse-gueule ! | |
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